WILLY ANGÈLE AU PIED DU MUR
On apprend à l'instant que la direction nationale du MEDEF national vient de demander à sa section guadeloupéénne de reprendre les négociations, estimant que toutes les conditions nécessaires à la garantie de la sécurité de ses représentants sont réunies. Après la fronde des petits patrons qui ont déjà signé, le démenti cinglant du préfet sur la supposée agression dont il aurait été victime, le voilà maintenant lâché par sa direction nationale. Pauvre M. Angèle, il doit se sentir bien seul... Après ce barouf d'honneur, il va devoir assumer ses responsabilités ! (à suivre)
FRédéric Gircour